Avec la PS5, c’est aussi la licence Ratchet et Clank qui fait son grand retour pour nous offrir quelques heures de pur plaisir. Nouvelle histoire, nouveaux personnages, nouvelles armes et surtout nouveaux frissons d’aventure avec Ratchet et Clank : Rift Apart. J’avais vraiment beaucoup de hâte pour ce jeu car l’univers de Ratchet et Clank m’a toujours amusée. Sans tarder, voilà ce que j’ai retenu de ce dernier opus.
Deux héros, deux styles
Dans ce nouveau titre, on retrouve bien évidemment nos deux indéfectibles amis, victorieux et insouciants lors d’une parade en leur honneur. Mais la fête va tourner court lorsque le Dr Nefarious (as usual) décide de pointer le bout de son nez et de faire joujou avec les failles dimensionnelles. Alors que l’on est séparé de Clank, notre but sera de traverser les failles pour le retrouver et venir à bout de cette nouvelle menace spatio-temporelle. C’est là que notre nouveau héros, ou plutôt héroïne, fait son apparition : Rivet. Rappelez-vous bien d’elle, car elle envoie du lourd.
Alors que les Lombax (race d’origine de Ratchet) semblaient disparus à jamais avec son espoir de retrouver les siens, Rivet apparait comme son double dimensionnel. Intrépide et badass, elle n’utilise pas de clé à molette mais bien un gros marteau qui sème la destruction sur son passage. Elle apporte un joli vent frais à la licence.
Le jeu alterne ainsi les phases d’aventure entre les deux personnages, jusqu’au grand final (que je ne vous révèlerai pas ici bien entendu). De planète en planète, de monde en monde, nos héros n’auront de cesse que de lutter contre les plans machiavéliques d’un autre Nefarious, bien plus diabolique que l’original.
Action à gogo et boulons à la chaine
Dynamique, rigolo, truffé de référence et visuellement captivant, ce Ratchet et Clank : Rift Apart (développé par Insomniac Games) est une chouette réussite.
On retrouve tout de suite l’ambiance et l’univers qui nous fait aimer la licence, couplé à des phases d’aventure/combat plutôt rythmées. Si ce n’est quelques bugs de collisions (un peu trop fréquents sur mes parties), je pense que le jeu aurait été un sans faute pour moi.
L’inventaire d’armement permet de trouver son propre style de combat. Ainsi, tout comme dans les jeux Spider-Man et sa roulette d’armes (re-coucou Insomniac Games), on garde ici le même principe. Si vous êtes plus gros bazooka, ça marche, si vous être plus combat à distance et support de drone, ça marche aussi. Chacun son style, chacun son kiff. D’autant plus que certaines armes sont vraiment très rigolotes.
Et puisque mon kiff perso, c’est de briser les caisses pour amasser le plus grand nombre de boulons, les emplettes ont été plutôt rapides. A côté de ça, on a bien entendu plusieurs quêtes secondaires et autres phases de gameplay type « hacking » qui viennent diversifier les combat.
Tout est bien qui fini bien
Entre défis, tenues à débloquer, boulons d’or et robots-espions à trouver, armes à débloquer et tout un tas d’autres choses. Il faudra un peu moins d’une quinzaine d’heures pour venir à bout de l’aventure.
Personnellement, je ne les ai pas vues passer et j’ai même tenu à pousser le vice un peu plus loin pour faire tomber le trophée Platine. Généralement quand un jeu me plait beaucoup, le platine est un passage presque obligatoire, et il n’était pas bien compliqué à avoir.
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Peu de fausses notes à relever. Comme je le disais, j’ai eu quelques bugs : rester coincée entre deux caisses, entre deux tuyaux, derrière une parois, l’imprécision des sauts… Ca m’a fait criser quelques fois, il faut l’avouer. Pour le reste, une chouette petite aventure, presque sans prise de tête, qui fait du bien en période estivale. Je ne lasse toujours pas de cette licence et je suis vraiment contente qu’elle est sa place sur la PS5. En plus, c’est tellement beau que j’ai abusé du mode photo, pour une fois.
Ratchet et Clank : Rift Apart est une exclusivité PS5 et est disponible à 79,99€ sur le PlayStation Store.
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