Hier, je vous parlais du jeu Dungeon Keeper, passons au deuxième jeu que je vous annonçais : Heroes of Dragon Age , qui nous a été présenté par son producteur Tim Lander.
Si les noms de Morrigan, Alistair ou Léliana ne vous disent rien, ne vous inquiétez pas, ce n’est pas grave. Il s’agit simplement là de personnages illustres du encore plus illustre jeu Dragon Age : Origins, RPG moyenâgeux se déroulant dans un monde peuplé de créatures fantastiques. A ne pas confondre avec Skyrim quand-même!
Contrairement à Dungeon Keeper, je ne vais pas vous refaire l’histoire du jeu, pour la simple et bonne raison que le gaming de la version mobile est complètement différent de la version PC/Console. Sachez simplement que sur PC, on incarne un héros (que l’on crée de A à Z) qui en fonction de nos choix, évoluera de façon différente au sein de l’histoire et en influencera son cours dans le Royaume de Ferelden. Des combats en équipe, un système d’inventaire plutôt laborieux, des points de caractéristiques à distribuer, des spécialisations à choisir… Un RPG comme on les aime quoi.
D’ailleurs le jeu s’appelle Heroes of Dragon Age, au pluriel donc et je vous explique pourquoi. Dans cette version, il s’agit de composer son équipe de cinq « créatures » qui peuvent être autant des héros connus que des dragons immenses, afin de mener son combat contre l’équipe adverse. Chaque personnage a ses capacités et caractéristiques et si on les combine bien, on a droit à de nouveaux bonus pour améliorer l’attaque et/ou la défense du groupe. En gros, ça se décline un peu comme un jeu de cartes à la Magic : The Gatering, sauf qu’au lieu des cartes, on voit directement le personnage. Aussi, des runes sont mises à disposition pour donner encore plus d’importances aux unités. Les effets de celles-ci sont par contre à durée limitée.
Ainsi, après avoir monté votre équipe, le combat peut être lancé. Là, c’est un peu plus décevant, car il n’y a aucune interaction possible. Les « créatures » se déplacent toutes seules. Il faut juste avoir décider de la bonne stratégie et placer les bons « personnages » afin de vous garantir une issue positive au combat, chose qui n’est pas non plus compliquée au début, mais bon,j’aime bien garder la main sur un combat. En cas contraire, j’ai l’impression que c’est trop aléatoire, ce qui en réalité ne l’est pas puisque l’initiative et les statistiques se basent sur les types d’unités de l’équipe. Pour finir, le joueur qui aura anéanti l’équipe de l’autre gagnera la partie et se verra récompenser.
Cependant, ce qui m’a le plus plu dans ce jeu, c’est le système mis en place pour obtenir de nouvelles unités. En effet, il y a la possibilité d’acheter des packs d’unités allant des basiques aux rares, grâce à la monnaie du jeu, tandis que certains packs sont achetables en gemmes qu’il faudra alors acquérir avec vos vrais sous! Toutefois, les packs non-payants ne regorgent pas moins de créatures rares, elles seront simplement un peu plus difficiles à obtenir. Mais le plus intéressant dans tout ça réside dans la combinaison des unités. Par exemple, si dans un pack j’ai obtenu une créature que j’avais déjà ou qui m’intéresse moins, je peux la combiner avec une autre (soit la même, soit une différente) afin d’obtenir une autre créature, mais plus évoluée ou forte en fonction de la combinaison. Du coup, rien ne se gâche, et j’aime beaucoup l’idée !
A côté des différentes campagnes solo, divisées en Mondes, et dont la difficulté augmente au fur et à mesure, il existe aussi un mode multi qui permet d’affronter les équipes d’autres joueurs. Et chaque victoire sera récompensée par des trophées et bonus, tandis que chaque défaite vous en fera perdre.
Pour avoir pris Heroes of Dragon Age en main, je dois dire qu’il m’a bien plus et que ça m’a donné envie de le continuer, tout comme Dungeon Keeper, histoire d’en évaluer plus en profondeur les capacités, mais ce qui est certain, c’est que dès leurs sorties je me les procurerais. Surtout que comme je le disais, les deux sont totalement gratuits. Donc, il ne reste plus qu’à se donner rendez-vous cet hiver, sur vos smartphone!
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